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Le Blog d'actualités juridiques de Maître
Mohamed BRAHIMI
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Les arrêts de principe récemment prononcés par les différentes chambres de la Cour suprême
- Par mohamed brahimi
- Le 27/12/2021
La Cour suprême vient de publier le numéro 2 de l’année 2020 de sa revue « La revue de la Cour suprême ».Contrairement aux anciennes revues , celle-ci contient des arrêts récemment prononcés. Nous passerons en revue les arrêts les plus pertinents.
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La faillite et le règlement judiciaire : L’urgence d’une réforme
- Par mohamed brahimi
- Le 08/12/2021
Dans sa dernière réunion , le gouvernement s’est penché sur un avant- projet de loi modifiant et complétant le code de commerce.Suivant le communiqué émanant de cette instance il s’agit d’adapter ce code aux nouvelles réformes et orientations stratégiques de l’économie nationale. Les observateurs de la scène économique s’attendaient entre autres reformes urgentes surtout en cette période de ralentissement de l’économie dû à l’épidémie de la Covid et à la mauvaise performance de nos entités économiques à ce que les pouvoirs publics se penchent surtout sur les difficultés insurmontables que vivent certaines entreprises aussi bien publiques que privées et engage enfin une réforme du système de la faillite et du règlement judiciaire prévu par le code du commerce et qui remonte à la première moitié du siècle dernier.
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Justice : le garde des sceaux exprime son agacement
- Par mohamed brahimi
- Le 27/11/2021
Dans un entretien à un média algérien, le nouveau ministre de la justice a fait une tonitruante et inhabituelle déclaration pour un garde des sceaux en exercice dans laquelle il ne fait ni plus ni moins que le procès du système judiciaire algérien. Répondant à une question du journaliste sur l’opinion négative qu’a le citoyen algérien sur la les institutions de son pays en général et sur la justice en particulier, le ministre répondit qu’il ne peut faire aucun reproche à ce citoyen puisque il n’a pas tord . Précisant sa pensée, il fit remarquer qu’effectivement ,quand le citoyen algérien a affaire à la justice , il ne se sent pas en sécurité, et s’il est obligé de recourir à un tribunal il n’est pas sûr que justice lui soit rendue .Précisant un peu plus sa pensée, il déclara que le citoyen convoqué devant un juge et quant bien même il n’a rien à se reprocher, il n’est jamais sûr de regagner son domicile libre.